La semaine dernière, j’ai réalisé une action citoyenne personnelle : j’ai écris une lettre à mes élus pour leur faire part de mes préoccupations face à la gestion de la crise Covid.
Cette vidéo présente ma démarche. J’y fais lecture de ma lettre au Grand Conseil Vaudois, relevant les incohérences des mesures imposées, le manque de preuves scientifiques sur lesquelles elles devraient se baser et mon inquiétude à propos des répercutions délétères sur notre société.
Dans la situation de crise que nous traversons, il est plus important que jamais d’engager des actions personnelles qui expriment nos valeurs profondes.
Peut-être aurez-vous également envie de vous exprimer auprès de votre gouvernement pour poser vos questions ou exprimer vos inquiétudes.
La lettre à mes élus est reproduite ci-après, libre de tout droit d’auteur, afin que vous puissiez l’utiliser en la recopiant telle quelle ou en vous en inspirant pour rédiger un courrier personnalisé.
Lettre au Grand Conseil Vaudois
À l’attention de Madame Sonya Butera, Présidente du Grand Conseil,
à l’attention des députées et des députés vaudois.
Lausanne, le 28 septembre 2020
Concerne : préoccupation face à la gestion de la crise Covid-19
Madame la Présidente du Grand Conseil,
Mesdames et Messieurs les député.e.s,
C’est en tant que citoyen suisse, libre de toute orientation politique ou religieuse, que je m’adresse à vous aujourd’hui pour vous faire part de ma profonde inquiétude en ce qui concerne les mesures prises face à l’épidémie de Covid-19.
Je ne bénéficie d’aucune formation technique, scientifique ou médicale, mais en tant qu’être doué de raison, je suis capable d’évaluer une situation en analysant les différentes informations dont je dispose et de les mettre en perspective en faisant appel à mon bon sens.
Il est compréhensible que le Conseil Fédéral ait pris des mesures drastiques au début de la crise contre un virus inattendu et dont on ne savait rien au printemps. Néanmoins, il faut considérer que la situation est aujourd’hui très différente avec un virus dont la létalité est maintenant extrêmement faible.
La multiplication des tests permet d’identifier de plus en plus de personnes positives, mais celles-ci s’avèrent être asymptomatiques dans la très grande majorité des cas. Sur toutes les personnes testées depuis le début de l’épidémie, seules 3,9% étaient positives et parmi celles-ci seulement 9,3% ont été hospitalisées. Ceci représente donc 0,36% d’hospitalisations par rapport aux tests positifs ou 0,014% par rapport au nombre de tests, selon les derniers chiffres de l’OFSP.
Bien entendu, vous êtes plus à même que moi d’analyser ces chiffres avec pertinence et je ne doute pas que vous saurez le faire. L’enregistrement continu des décès fourni par l’Office fédéral de la statistique montre clairement qu’en dehors du pic de l’épidémie, entre la mi-mars et la mi-avril, la courbe de mortalité se situe parfaitement entre les valeurs attendues.
Je veux croire à la bonne volonté de nos élus et à leur intention de protéger la population. Toutefois, les mesures de protection doivent être en adéquation avec le risque encouru, ce qui ne me paraît plus être le cas.
En effet, de nombreuses études étayées par des scientifiques de renom, tels que : le Prof. Didier Raoult, le Prof. Christian Perronne, le Prof. Jean-François Toussaint, le Prof. Luc Montagnier, la Dr. Alexandra Henrion-Caude, le Prof. Denis Rancourt, le Prof. Laurent Toubiana pour ne citer que les plus populaires, démontrent que l’épidémie est terminée et que les mesures sanitaires actuelles sont disproportionnées.
Un collectif de 200 scientifiques, universitaires et professionnels de la santé, a édité un manifeste qui fait le point de la situation et dont je vous livre copie en annexe à la fin de ce document.
Outre le grand nombre d’incohérences à propos du port du masque, du traçage des contacts ou encore des quarantaines imposées, il est tout à fait incompréhensible pour moi d’observer mes élus céder à la peur et de voir cette dernière leur dicter des mesures qui mettent en danger les droits fondamentaux de nos concitoyens. Les récents durcissements de ces mesures dans notre canton, notamment à propos du masque généralisé, me laisse penser que mon gouvernement, avec tout le respect que je lui doit, outrepasse sa mission de protection en imposant des règles liberticides, infantilisantes et abusives.
Je m’inquiète particulièrement à la perspective des troubles psychologiques qui ne manqueront pas de se multiplier dans ce climat anxiogène, amplifié par les médias. Je crains pour la santé mentale de notre population et spécialement pour celle de notre jeunesse qui se voit imposer un masque dont le bénéfice n’a été démontré par aucune étude scientifique et ce, durant de longues journées scolaires. Ceci sans compter les difficultés relationnelles résultant de la dissimulation du visage.
Je redoute un possible et dramatique reconfinement, basé sur une analyse erronée des chiffres qui mettent en exergue des personnes testées positives et pourtant bien portantes, qui achèverait une économie déjà fragilisée et dont la seule issue pourrait être présentée sous forme d’un vaccin plus que douteux et totalement inacceptable pour nombre d’entre-nous.
Pour toutes ces raisons, Madame la présidente du Grand Conseil, Mesdames et Messieurs les député.e.s, en vertu des pouvoirs qui vous ont été confiés par le peuple, je vous demande expressément d’engager des mesures d’enquête adéquates et impartiales afin de faire la lumière sur les réels enjeux sanitaires, économiques et sociétaux, en dehors de tous conflits d’intérêts, qu’ils soient nationaux, internationaux ou personnels.
Je vous demande de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour préserver les droits fondamentaux du peuple souverain en maintenant le traçage de la population sur une base volontaire, en garantissant la liberté de choix du dépistage, du port du masque et de la vaccination, en laissant les médecins traiter leurs malades selon leurs compétences et en faisant confiance au sens des responsabilités de notre population ainsi qu’en sa capacité d’immunité de groupe.
Cette requête est motivée par des valeurs personnelles et fondamentales qui sont en totale adéquation avec le préambule de la constitution suisse, dont je me permets de vous rappeler les termes ci-dessous.
Conscient de la charge que vous font porter vos responsabilités dans cette situation exceptionnelle et particulièrement délicate, je tiens à vous assurer de mon soutien, de mon respect et de mon engagement citoyen. Dans le cas où mes compétences pourrait vous être utile, je reste à disposition pour vous aider à trouver une issue favorable à cette crise historique.
En vous remerciant de votre attention et persuadé que vous saurez prendre la mesure de ce qui précède, je compte sur une réponse de votre part et vous présente, Madame la présidente du Grand Conseil, Mesdames et Messieurs les député.e.s, mes respectueuses salutations.
Philippe Fragnière
Hypnothérapeute
Route du Pavement 117
1018 Lausanne
Préambule de la Constitution suisse
Au nom de Dieu Tout-Puissant !
Le peuple et les cantons suisses, conscients de leur responsabilité envers la Création,
résolus à renouveler leur alliance pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde,
déterminés à vivre ensemble leurs diversités dans le respect de l’autre et de l’équité,
conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures,
sachant que seul et libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,
arrête la constitution que voici…
Annexe
Dans une tribune collective, 200 scientifiques français, universitaires et professionnels de santé critiquent la politique et la communication gouvernementales. Selon eux, elles relèvent davantage d’un affichage d’une « posture protectrice » que d’une stratégie sanitaire précise. Elles conduisent de plus à diviser et infantiliser les citoyens, plutôt que de les unir et les responsabiliser.
Bien que française, cette tribune collective met en avant des arguments et réalités scientifiques qui, pour la plupart, ont tout leur sens également dans notre pays.
Une première publication a eu lieu le jeudi 10 septembre après-midi dans le journal Le Parisien sous la signature de 35 scientifiques, universitaires et professionnels de santé.
Réf. https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-nous-ne-voulons-plus-etre-gouvernes-par-la-peur-la-tribune-de-chercheurs-et-de-medecins-10-09-2020-8382387.php
Le journal en question ne pouvant pas actualiser cette liste, ce sont d’autres organismes qui relaient l’ampleur que prend ce collectif. Le 25 septembre il y avait 200 signataires. Et cela ne cesse d’augmenter… aujourd’hui ils sont près de 300 !
Découvrez des informations complémentaires aussi dans cet article.
Covid: nous ne voulons plus être gouvernés par la peur
Nous, scientifiques et universitaires de toutes disciplines, et professionnels de santé, exerçant notre libre arbitre et notre liberté d’expression, disons que nous ne voulons plus être gouvernés par et dans la peur. La société française est actuellement en tension, beaucoup de citoyens s’affolent ou au contraire se moquent des consignes, et nombre de décideurs paniquent. Il est urgent de changer de cap.
Nous ne sommes pas en guerre mais confrontés à une épidémie qui a causé 30 décès le 9 septembre, contre 1’438 le 14 avril. La situation n’est donc plus du tout la même qu’il y a 5 mois. Par ailleurs, si la guerre peut parfois justifier un état d’urgence et des restrictions exceptionnelles de l’Etat de droit et des libertés publiques qui fondent la démocratie et la République, ce n’est pas le cas d’une épidémie. Aujourd’hui comme hier, cette crise doit nous unir et nous responsabiliser, pas nous diviser ni nous soumettre.
C’est pourquoi nous appelons les autorités politiques et sanitaires françaises à cesser d’insuffler la peur à travers une communication anxiogène qui exagère systématiquement les dangers sans en expliquer les causes et les mécanismes. Il ne faut pas confondre la responsabilisation éclairée avec la culpabilisation moralisatrice, ni l’éducation citoyenne avec l’infantilisation. Nous appelons également l’ensemble des journalistes à ne plus relayer sans distance une communication qui est devenue contre-productive : la majorité de nos concitoyens ne fait plus confiance aux discours officiels, les complotismes en tous genres foisonnent sur les réseaux sociaux et les extrémismes en profitent.
Le confinement général, mesure inédite dans notre histoire, a eu des conséquences individuelles, économiques et sociales parfois terribles qui sont loin de s’être encore toutes manifestées et d’avoir été toutes évaluées. Laisser planer la menace de son renouvellement n’est pas responsable.
Il faut évidemment protéger les plus faibles. Mais de même que l’imposition du port du masque dans la rue, y compris dans les régions où le virus ne circule pas, l’efficacité du confinement n’est pas démontrée scientifiquement. Ces mesures générales et uniformes, imposées sous surveillance policière, relèvent davantage d’une volonté d’afficher une posture protectrice que d’une stratégie sanitaire précise. D’où leur grande volatilité depuis six mois. Beaucoup d’autres pays agissent avec plus de cohérence. Une coordination européenne serait nécessaire.
Nous appelons également le gouvernement à ne pas instrumentaliser la science. La science a pour condition sine qua non la transparence, le pluralisme, le débat contradictoire, la connaissance précise des données et l’absence de conflits d’intérêts. Le Conseil Scientifique du Covid-19 ne respectant pas l’ensemble de ces critères, il devrait être refondé ou supprimé.
Nous rappelons par ailleurs que les premiers à soigner les malades sont les médecins généralistes. Les écarter de la lutte contre le Covid, en ne leur fournissant ni tests ni masques et en suspendant leur liberté de prescrire les médicaments autorisés de leur choix a constitué une erreur qui ne doit pas se reproduire. L’ensemble des soignants doit au contraire être mobilisé, équipé et solidarisé afin d’améliorer nos capacités de réaction et non les restreindre.
Enfin, les impératifs de protection contre la contagion ne doivent pas conduire à trahir l’éthique médicale et les principes humanistes fondamentaux. Isoler les malades et protéger les personnes à risque ne veut pas dire les priver de tous droits et de toute vie sociale. Trop de personnes âgées sont décédées et se dégradent encore actuellement dans un abandon motivé par des motifs sanitaires non justifiés. Trop de familles souffrent de ne pouvoir leur apporter l’affection indispensable à leur bonheur et à leur santé.
Il est urgent de nous remettre à penser ensemble pour définir démocratiquement nos stratégies sanitaires, redonner de la confiance à nos concitoyens et de l’avenir à notre jeunesse.
Les signataires (au 25 septembre)
Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris
Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
Bernard Bégaud, professeur de pharmacologie à l’Université de Bordeaux
Gilles Boeuf, professeur de biologie à Paris-Sorbonne Université
Pierre-Henri Gouyon, professeur de biologie au Muséum National d’Histoire Naturelle
Jean Roudier, professeur de rhumatologie à l’Université d’Aix-Marseille
Louis Fouché, médecin, anesthésiste réanimateur à l’Hôpital de la Conception
Olivier de Soyres, médecin, réanimateur à la clinique des Cèdres
Christophe Lançon, professeur de psychiatrie à l’Université d’Aix-Marseille
Laurent Toubiana, épidémiologiste à l’INSERM
Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS
Anne Atlan, généticienne des populations et sociologue, directrice de recherche au CNRS
Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
Marc-André Selosse, professeur de microbiologie au Muséum National d’Histoire Naturelle
Jean-Louis Thillier, médecin, immunopathologiste
Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS
Alexandra Menant, biologiste, chercheuse au CNRS
André Comte-Sponville, philosophe
François Gastaud, Chirurgien Orthopédiste à Strasbourg
Éric Desmons, professeur de droit public à l’Université Sorbonne Paris Nord
Dominique Andolfatto, professeur de science politique à l’Université de Bourgogne Franche-Comté
Charalambos Apostolidis, professeur de droit public à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté
Nicolas Sembel, professeur de sociologie à l’Université d’Aix-Marseille
Dominique Crozat, professeur de géographie à l’Université de Montpellier
Marnix Dressen-Vagne, professeur de sociologie à l’Université Versailles Saint-Quentin en Yvelines
Thomas Hippler, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Caen Normandie
Nicolas Leblond, maître de conférences en droit à l’Université Polytechnique Hauts-de-France
Dominique Labbé, politiste, enseignant émérite à l’Université de Grenoble-Alpes
Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
Mathias Delori, politiste, chercheur au CNRS
Jacques Tassin, écologue, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD)
Sylvie Gourlet-Fleury, écologue, chercheuse au CIRAD
Emmanuelle Sultan, docteur en océanographie physique, ingénieure de recherche au Muséum National d’Histoire Naturelle
Christophe Leroy, biologiste, docteur en biologie moléculaire et cellulaire
Bernard Dugué, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie
Yannick Gottwalles, chef du pôle Urgences des hôpitaux civils de Colmar
Hélène Banoun, docteur en pharmacologie, ancien chercheur à l’INSERM
Pierre-Yves Santiago, chirurgien à l’Institut Ophtalmologique de l’Ouest Jules Verne
Morgane Miègeville, cadre de santé, responsable pédagogique AP-HP
Colette Nordmann, Médecin du Sport
Franklin Joulie, chirurgien, Nantes
Christian Perronne, infectiologue, professeur à l’Université de Versailles Saint Quentin – Paris Saclay
Charles Menard, médecin, psychiatre
Arnauld Cabelguenne, docteur en pharmacologie
Marie-Claire Cabelguenne, pharmacienne
Franck Enjolras, psychiatre et anthropologue, chercheur à l’EHESS
Denis Agret, médecin urgentiste et santé publique
Guillaume Barucq, médecin généraliste (Biarritz)
Stéphane Tessier, médecin de santé publique
Alain Le Hyaric, médecin hospitalier à la retraite
Malika Balduyck, maître de conférences en biochimie et praticien hospitalier au CHU de Lille
Marie Laure Cadart, médecin et anthropologue
Yann Jacob, psychologue
Nicole Vernazza-Licht, anthropologue de la santé, chercheuse associée au CNRS
Grégoire Millet, physiologiste, professeur à l’Université de Lausanne
Agnès Florin, professeur émérite de psychologie à l’Université de Nantes
Daniel Bley, anthropologue biologiste, directeur de recherche émérite au CNRS
Bernard Gaillard, psychologue, professeur émérite à l’Université de Rennes 2
Soizic Noël-Bourgois, docteur en ethno-anthropologie, infirmière, membre de l’Académie des Sciences Infirmières
Farhad Khosrokhavar, professeur émérite à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales
Jean-François Dhôte, forestier, directeur de recherches à l’INRAE
Richard Frackowiak, neurologue, professeur émérite à l’University College of London
Serge Dufoulon, professeur de sociologie à l’Université Grenoble Alpes
Michel Koebel, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg
Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Jean-François Bayart, professeur de science politique à l’IHEID
Marie-José Minassian, philosophe, enseignante émérite à l’Université Paris 8
Dominique Pécaud, professeur de sociologie à l’Université de Nantes
Frédéric Barbe, maître de conférences à l’École Nationale Supérieure d’Architecture
Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine
Pascal Roman, professeur de psychologie à l’Université de Lausanne
Olivier Esteves, professeur de civilisation anglaise à l’Université de Lille
Dan Ferrand-Bechmann, professeure honoraire de sociologie à l’Université Paris 8
Didier Blanc, professeur de droit public à l’Université de Toulouse
Dominique Glaymann, professeur de sociologie à l’Université d’Evry – Paris Saclay
Bernadette Aubert, maître de conférences en droit à l’Université de Poitiers
Fabrice Flipo, professeur de philosophie à l’Institut Mines-Telecom BS
Pierre-Cyrille Hautcoeur, économiste et historien, directeur d’études à l’EHESS
Maryse Esterle, enseignante-chercheuse en sociologie à l’Université d’Artois
Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber
Anouk Guiné, professeur à l’Université Le Havre Normandie
Guy Chapouillié, professeur émérite à l’École Nationale Supérieure de l’Audio-Visuel de l’Université de Toulouse
Didier Bigo, professeur de sociologie à Sciences-Po Paris
Claude Gautier, professeur de philosophie à l’École Normale Supérieure de Lyon
Stéphane Cantéro, magistrat, enseignant à l’Université de Rennes 1
James Masy, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université de Rennes 2
Olivier Jean-Marie Chantraine, professeur émérite de sciences de l’information et la communication à l’Université de Lille
Claire Neirinck, professeur de droit émérite à l’Université de Toulouse 1
Mathieu Dubois, professeur d’histoire à l’université de Nantes
Marc Roux, professeur honoraire de Zootechnie à l’AgroSup Dijon
Jérôme Reynier, docteur en psychologie sociale, enseignant dans le secondaire
Christian Palloix, professeur émérite d’économie à l’Université de Picardie Jules Verne
Arlette Bourcier-Mucchielli, psychologue, professeur honoraire à l’Université de Nice
Christophe Lemardelé, docteur en histoire des religions, chercheur associé au CNRS
Lucie Jouvet Legrand, socio-anthropologue, Maîtresse de conférences à l’Université de Franche-Comté
Michelle Zancarini-Fournel, historienne, professeur émérite à l’Université de Lyon
Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen
Thomas Meunier, chercheur associé au Woods Hole Oceanographic Institution
André Cayol, enseignant-chercheur émérite à l’Université de Technologie de Compiègne
Violaine Guérin, endocrinologue et gynécologue
Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur
Alexandra Henrion Caude, généticienne, ancienne directrice de recherche à l’Inserm
Tamara Baron, psychologue en milieu pénitentiaire
Bruno Péquignot, professeur émérite de sociologie à l’Université Paris Sorbonne Nouvelle
Colette Anné, mathématicienne, Chargée de Recherche (CRHC) du CNRS
Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des hôpitaux honoraire
Pascal Lardellier, professeur de sciences de l’information et de la communication à l’Université de Bourgogne
Michel David, psychiatre des hôpitaux
Michel Claessens, professeur de communication scientifique, Commission européenne et Université Libre de Bruxelles
Marta Barreda Gonzalez, médecin généraliste, spécialiste en santé publique
Laurent Brunaud, professeur de chirurgie viscérale et digestive au CHRU de Nancy
Pascal Mensah, médecin généraliste
Thierry Medynski, médecin généraliste
Sylvie Laval, psychiatre, Rhône
Mathilde Hautereau-Boutonnet, professeur de droit à Aix-Marseille Université
Jean-Pierre Letourneur, médecin, hepatogastroenterologue
Bénédicte Helfer, médecin, Risques sanitaires majeurs et gestion de crise
Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste
Anny Combrichon, psychiatre psychanalyste, Lyon
Simon Postec, docteur en Mathématique, professeur à l’Institut National des Sciences Appliquées de Rennes
Laurent Sedel, médecin, ancien chef de service en orthopédie à l’hôpital Lariboisière
Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste et urgentiste, Bourges
Pierre Concialdi, chercheur en sciences sociales
Xavier Pin, professeur de droit pénal à l’université Jean Moulin Lyon III
Thierry Desjardins, pédologue, chercheur à L’institut de Recherche pour le Développement (IRD)
Nicole Chaudière, pharmacienne
Bénédicte Helfer, médecin, Risques sanitaires majeurs et gestion de crise
Marc Rozenblat, médecin Ostéopathe du Sport, Université Paris Est Créteil, président du Syndicat National des Médecins du Sport
Emmanuel Barranger, professeur de médecine, chirurgie cancérologique, directeur Général du Centre de Lutte contre Le Cancer Antoine Lacassagne (Nice)
Frédéric Schnee, médecin gériatre coordonnateur en EHPAD
Philippe Laurent, médecin généraliste au Lavandou (83)
Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférence en physiologie végétale, Sorbonne-Université, Paris
Nelly Blanchet, médecin inspecteur Santé Publique, Hautes Alpes (05)
Julien Petit, médecin du sport
Isabelle Aubert, maitre de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique, Université de Bordeaux
Paco Lorente, docteur en médecine, cardiologue, ancien DRI et ancien directeur d’unité à l’INSERM
David Esfandi, médecin psychiatre, Bordeaux
Roland Pfefferkorn, professeur émérite de sociologie à l’Université de Strasbourg
Marie-Cécile Guérin, maître de conférences HDR en Droit à l’Université de Bordeaux
Bernard Banoun, professeur de lettres à Université Paris Sorbonne
Bernard Lamizet, professeur émérite en sciences de l’information et de la communication à l’Institut d’Études politiques de Lyon
Monique Lamizet, médecin
Rose-Marie Castello, médecin du travail et médecin généraliste, Paris
Gérard Bapt, médecin, député honoraire
Alban Gautier, professeur d’histoire médiévale à l’Université de Caen Normandie
Cyril Sintez, maître de conférences en droit privé à l’Université d’Orléans
Violaine Kichmenin-Martin, médecin honoraire, spécialiste thrombose-hémostase
Jean-François Pascal, médecin, gériatre, chef de service SSR
Pascale Gabsi, psychologue hospitalière
Jacques Bouaud, chercheur en informatique médicale, LIMICS
Martine Mérour, pneumologue, praticien hospitalier, retraitée
Eugénia Lamas, Chercheur en éthique médicale, LIMICS
Fouad Daoud, médecin, ostéopathe, psychanalyste
Sébastien Aubert, professeur à l’École Nationale Supérieure des Arts et Métiers
Cendrine Mercier, maitre de Conférences en Science de l’Éducation et psychologue clinicienne
Marie Reygnier, professeur de Lettres à l’Université Paris Nanterre
Philippe Guimard, professeur de psychologie à l’Université de Nantes
Bernard Giral, médecin, président de la Communauté Professionnelle Territoriale de Santé du Pays d’Arles
André Burnol, ingénieur ENSTA Paris, docteur en hydrogéochimie
Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
Isabelle Lagny, médecin du travail à l’Université de Paris-Grands Moulins
Sabine de Monvallier, médecine généraliste (86)
Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
Béatrice Hibou, directrice de recherche au CNRS (CERI/Sciences-Po)
Alain Deville, professeur émérite de physique à l’Université d’Aix-Marseille
Pascal Sacré, médecin anesthésiste-réanimateur à l’hôpital de Charleroi
Isabelle Sternotte, Ostéopathe, Sage-femme
Didier Montet, médecin, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD, Montpellier)
Béatrice Adam, kinésithérapeute, collectif « Transparence Coronavirus »
Laurent Durinck, médecin anesthésiste (Lille)
Véronique Ahari, médecin généraliste
Sandro Provenzano, médecin généraliste
Vincent Pavan, maître de conférences en mathématiques à l’Université d’Aix-Marseille
Peter El Baze, médecin, ancien chef de service au CHU de Nice
Patricia Melot, médecin généraliste
Thierry Oblet, maître de conférences en sociologie à l’Université de Bordeaux
Anne-Elisabeth Migeon, diététicienne/nutritionniste
Dominique Domergue-Anguis, médecin, gynécologue
Yves-Marie Mattheyses, infirmier anesthésiste
Élisabeth Pouffier, médecin généraliste
Brigitte Weiss , médecin généraliste, ostéopathe, retraitée
Pierre Guerre Berthelot, médecin anesthésiste-réanimateur aux Hôpitaux du Mont Blanc
Gérard Ostermann, professeur de thérapeutique, médecine Interne et psychothérapeute
Alain Wurtz, professeur émérite de chirurgie thoracique à l’Université de Lille
Adeline Tisserand, infirmière
Marie Bécart, pharmacienne
Lionel Ferrier, médecin, nutritionniste
Béatrice Herman, infirmière en soins intensifs
Vincent Reliquet, médecin, comité médical AIMSIB
Pascale Delechenault, médecin, gastro-entérologue, nutritionniste
Jérôme Blanchot, chirurgien gynécologue
Olivier Lhoest, anesthésiste réanimateur
Marc Chatellier, enseignant-chercheur en philosophie à l’Université de Nantes
Élodie Caiola, infirmière pédiatrique
Patrick Guerin, docteur vétérinaire
Hervé Joly, sociologue, directeur de recherche au CNRS
Isabelle Vinatier, professeur émérite de sciences de l’éducation à l’Université de Nantes
Béatrice Segurens, chercheuse en génétique et métagénomique au CEA
Koryna Socha, médecin, anatomopathologiste, transplantation et immunomodulation
Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire à l’Université de Caen-Normandie
Thierry Gourvénec, pédopsychiatre
Pascal Ragouet, professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux