Les enquêtes se multiplient et démontrent de plus en plus la dangerosité des vaccins et leur inutilité sanitaire. Mais alors… à quoi servent-ils vraiment ?
Ancien vice-président chez Pfizer, Michael Yeadon accuse la politique de vaccination des enfants et des jeunes et parle même de crime contre l’humanité.
Les arguments mensongers tentent de faire croire que ces injections sont sûres et nécessaire à la sortie de crise, mais la réalité est bien différente… pour ne pas dire carrément opposée.
On ne peut pas être plus clair : Mr. Yeadon parle de meurtre organisé.
Et si c’était vraiment un crime contre l’humanité ?
Durant cette période de folie collective, les choses vont vite et ce qui était d’actualité à la fin 2021 est en train de tourner en ce début 2022.
Toutefois, bien que quelques pays occidentaux remettent en question la gestion de la (soi-disant) crise sanitaire, la plupart continuent leur politique de restriction et de vaccination.
La vérité éclate de partout, mais la partie n’est pas finie. Réveillons-nous et mobilisons-nous pour garder ou retrouver notre bon sens.
D’éminents spécialistes avancent la thèse que le vaccin contre la covid pourrait être une arme bactériologique. Voilà une accusation assez grave pour qu’on prenne la peine de la considérer.
Restons unis, restons libres… et gardons la lumière.
La protection des intérêts de Big Pharma est la seule hypothèse qui permette de comprendre pourquoi on ne veut pas soigner les malades de la Covid-19.
La censure des traitements efficaces contre la Covid-19 protège les intérêts de Big Pharma.
En effet, l’industrie pharmaceutique prévoit une distribution massive des vaccins qui ne peut avoir lieu que si aucun traitement n’est disponible. Il faut donc cacher toute alternative qui pourrait compromettre ce plan.
C’est la seule hypothèse qui permette de comprendre pourquoi on ne veut pas parler des médicaments qui pourraient vraiment soigner les malades.
Si ces présomptions devaient s’avérer exactes, elles porteraient des accusations très graves sur les institutions officielles et sur les gouvernements. Ceux-ci auraient alors fait le jeu, sciemment ou non, de la dictature sanitaire.
Pourquoi censurent-ils les informations sur les traitements efficaces ?
Des traitements efficaces et peu coûteux existent contre la Covid-19. De nombreux médecins et scientifiques réputés l’affirment.
Les médias, Google et les grands réseaux sociaux censurent les informations à ce sujet pour protéger les profits faramineux qui sont en jeu avec les vaccins.
La censure des traitements efficaces contre la Covid-19 est inadmissible
Dans le cadre d’une pandémie, occulter les traitements efficaces est inadmissible et même criminel. On maintient les gens dans l’angoisse et on les empêche d’accéder aux soins adéquats. Par exemple, le site officiel de l’Ivermectine n’est pas répertorié par Google. Si vous ne possédez pas le lien direct, vous ne pourrez pas le trouver.
Mais au-delà de la censure, il y a une véritable manipulation par la peur et la désinformation. Au point qu’on peut se demander s’il s’agit vraiment d’une pandémie ou d’une action orchestrée pour soumettre les populations à un nouvel ordre social.
En ces temps troublés, la recherche de la vérité est un défi que toute personne lucide se doit de relever.
Rechercher la vérité est devenu essentiel pour garder son esprit libre et porter un regard lucide sur l’évolution de notre monde.
2020 a été une année mouvementée et riche en informations contradictoires. Comment identifier le vrai du faux ?
Pourquoi les médias officiels ne diffusent-ils que des informations partielles ou erronées ? Est-ce pour nous cacher certaines vérités ou pour nous protéger de « fake news » que nous ne serions pas à même de repérer ?
Tourné le 20 décembre 2020
Rechercher la vérité
Il faut chercher par soi-même pour se faire son propre avis afin de pouvoir élaborer un futur différent et plus bénéfique à tous…
Une foule d’informations alternatives existent déjà sur le web et je me suis demandé s’il était bien utile que je me mette moi-aussi à donner mon avis. Mais après tout, me recherches seront peut-être utiles à d’autres.
Les choses s’accélèrent en cette fin 2020 avec l’entrée de notre planète dans l’ère du Verseau. De grands mouvements on lieu dans le monde et il est important de partager nos visions pour accéder à une perception plus globale de la situation que nous vivons.
Retrouvez d’autres réflexions sur la recherche de la vérité dans cette vidéo.
Mon action citoyenne : écrire à mes élus pour leur faire part de mes préoccupations face à la gestion de la crise Covid.
La semaine dernière, j’ai réalisé une action citoyenne personnelle : j’ai écris une lettre à mes élus pour leur faire part de mes préoccupations face à la gestion de la crise Covid.
Cette vidéo présente ma démarche. J’y fais lecture de ma lettre au Grand Conseil Vaudois, relevant les incohérences des mesures imposées, le manque de preuves scientifiques sur lesquelles elles devraient se baser et mon inquiétude à propos des répercutions délétères sur notre société.
Dans la situation de crise que nous traversons, il est plus important que jamais d’engager des actions personnelles qui expriment nos valeurs profondes.
Lettre à mes élus
Peut-être aurez-vous également envie de vous exprimer auprès de votre gouvernement pour poser vos questions ou exprimer vos inquiétudes.
La lettre à mes élus est reproduite ci-après, libre de tout droit d’auteur, afin que vous puissiez l’utiliser en la recopiant telle quelle ou en vous en inspirant pour rédiger un courrier personnalisé.
Lettre au Grand Conseil Vaudois
À l’attention de Madame Sonya Butera, Présidente du Grand Conseil, à l’attention des députées et des députés vaudois.
Lausanne, le 28 septembre 2020
Concerne : préoccupation face à la gestion de la crise Covid-19
Madame la Présidente du Grand Conseil, Mesdames et Messieurs les député.e.s,
C’est en tant que citoyen suisse, libre de toute orientation politique ou religieuse, que je m’adresse à vous aujourd’hui pour vous faire part de ma profonde inquiétude en ce qui concerne les mesures prises face à l’épidémie de Covid-19.
Je ne bénéficie d’aucune formation technique, scientifique ou médicale, mais en tant qu’être doué de raison, je suis capable d’évaluer une situation en analysant les différentes informations dont je dispose et de les mettre en perspective en faisant appel à mon bon sens.
Il est compréhensible que le Conseil Fédéral ait pris des mesures drastiques au début de la crise contre un virus inattendu et dont on ne savait rien au printemps. Néanmoins, il faut considérer que la situation est aujourd’hui très différente avec un virus dont la létalité est maintenant extrêmement faible.
La multiplication des tests permet d’identifier de plus en plus de personnes positives, mais celles-ci s’avèrent être asymptomatiques dans la très grande majorité des cas. Sur toutes les personnes testées depuis le début de l’épidémie, seules 3,9% étaient positives et parmi celles-ci seulement 9,3% ont été hospitalisées. Ceci représente donc 0,36% d’hospitalisations par rapport aux tests positifs ou 0,014% par rapport au nombre de tests, selon les derniers chiffres de l’OFSP.
Bien entendu, vous êtes plus à même que moi d’analyser ces chiffres avec pertinence et je ne doute pas que vous saurez le faire. L’enregistrement continu des décès fourni par l’Office fédéral de la statistique montre clairement qu’en dehors du pic de l’épidémie, entre la mi-mars et la mi-avril, la courbe de mortalité se situe parfaitement entre les valeurs attendues.
Je veux croire à la bonne volonté de nos élus et à leur intention de protéger la population. Toutefois, les mesures de protection doivent être en adéquation avec le risque encouru, ce qui ne me paraît plus être le cas.
En effet, de nombreuses études étayées par des scientifiques de renom, tels que : le Prof. Didier Raoult, le Prof. Christian Perronne, le Prof. Jean-François Toussaint, le Prof. Luc Montagnier, la Dr. Alexandra Henrion-Caude, le Prof. Denis Rancourt, le Prof. Laurent Toubiana pour ne citer que les plus populaires, démontrent que l’épidémie est terminée et que les mesures sanitaires actuelles sont disproportionnées.
Un collectif de 200 scientifiques, universitaires et professionnels de la santé, a édité un manifeste qui fait le point de la situation et dont je vous livre copie en annexe à la fin de ce document.
Outre le grand nombre d’incohérences à propos du port du masque, du traçage des contacts ou encore des quarantaines imposées, il est tout à fait incompréhensible pour moi d’observer mes élus céder à la peur et de voir cette dernière leur dicter des mesures qui mettent en danger les droits fondamentaux de nos concitoyens. Les récents durcissements de ces mesures dans notre canton, notamment à propos du masque généralisé, me laisse penser que mon gouvernement, avec tout le respect que je lui doit, outrepasse sa mission de protection en imposant des règles liberticides, infantilisantes et abusives.
Je m’inquiète particulièrement à la perspective des troubles psychologiques qui ne manqueront pas de se multiplier dans ce climat anxiogène, amplifié par les médias. Je crains pour la santé mentale de notre population et spécialement pour celle de notre jeunesse qui se voit imposer un masque dont le bénéfice n’a été démontré par aucune étude scientifique et ce, durant de longues journées scolaires. Ceci sans compter les difficultés relationnelles résultant de la dissimulation du visage.
Je redoute un possible et dramatique reconfinement, basé sur une analyse erronée des chiffres qui mettent en exergue des personnes testées positives et pourtant bien portantes, qui achèverait une économie déjà fragilisée et dont la seule issue pourrait être présentée sous forme d’un vaccin plus que douteux et totalement inacceptable pour nombre d’entre-nous.
Pour toutes ces raisons, Madame la présidente du Grand Conseil, Mesdames et Messieurs les député.e.s, en vertu des pouvoirs qui vous ont été confiés par le peuple, je vous demande expressément d’engager des mesures d’enquête adéquates et impartiales afin de faire la lumière sur les réels enjeux sanitaires, économiques et sociétaux, en dehors de tous conflits d’intérêts, qu’ils soient nationaux, internationaux ou personnels.
Je vous demande de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour préserver les droits fondamentaux du peuple souverain en maintenant le traçage de la population sur une base volontaire, en garantissant la liberté de choix du dépistage, du port du masque et de la vaccination, en laissant les médecins traiter leurs malades selon leurs compétences et en faisant confiance au sens des responsabilités de notre population ainsi qu’en sa capacité d’immunité de groupe.
Cette requête est motivée par des valeurs personnelles et fondamentales qui sont en totale adéquation avec le préambule de la constitution suisse, dont je me permets de vous rappeler les termes ci-dessous.
Conscient de la charge que vous font porter vos responsabilités dans cette situation exceptionnelle et particulièrement délicate, je tiens à vous assurer de mon soutien, de mon respect et de mon engagement citoyen. Dans le cas où mes compétences pourrait vous être utile, je reste à disposition pour vous aider à trouver une issue favorable à cette crise historique.
En vous remerciant de votre attention et persuadé que vous saurez prendre la mesure de ce qui précède, je compte sur une réponse de votre part et vous présente, Madame la présidente du Grand Conseil, Mesdames et Messieurs les député.e.s, mes respectueuses salutations.
Philippe Fragnière Hypnothérapeute Route du Pavement 117 1018 Lausanne
Préambule de la Constitution suisse
Au nom de Dieu Tout-Puissant ! Le peuple et les cantons suisses, conscients de leur responsabilité envers la Création, résolus à renouveler leur alliance pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde, déterminés à vivre ensemble leurs diversités dans le respect de l’autre et de l’équité, conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures, sachant que seul et libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres, arrête la constitution que voici…
Annexe
Dans une tribune collective, 200 scientifiques français, universitaires et professionnels de santé critiquent la politique et la communication gouvernementales. Selon eux, elles relèvent davantage d’un affichage d’une « posture protectrice » que d’une stratégie sanitaire précise. Elles conduisent de plus à diviser et infantiliser les citoyens, plutôt que de les unir et les responsabiliser.
Bien que française, cette tribune collective met en avant des arguments et réalités scientifiques qui, pour la plupart, ont tout leur sens également dans notre pays.
Le journal en question ne pouvant pas actualiser cette liste, ce sont d’autres organismes qui relaient l’ampleur que prend ce collectif. Le 25 septembre il y avait 200 signataires. Et cela ne cesse d’augmenter… aujourd’hui ils sont près de 300 !
Découvrez des informations complémentaires aussi dans cet article.
Covid: nous ne voulons plus être gouvernés par la peur
Nous, scientifiques et universitaires de toutes disciplines, et professionnels de santé, exerçant notre libre arbitre et notre liberté d’expression, disons que nous ne voulons plus être gouvernés par et dans la peur. La société française est actuellement en tension, beaucoup de citoyens s’affolent ou au contraire se moquent des consignes, et nombre de décideurs paniquent. Il est urgent de changer de cap.
Nous ne sommes pas en guerre mais confrontés à une épidémie qui a causé 30 décès le 9 septembre, contre 1’438 le 14 avril. La situation n’est donc plus du tout la même qu’il y a 5 mois. Par ailleurs, si la guerre peut parfois justifier un état d’urgence et des restrictions exceptionnelles de l’Etat de droit et des libertés publiques qui fondent la démocratie et la République, ce n’est pas le cas d’une épidémie. Aujourd’hui comme hier, cette crise doit nous unir et nous responsabiliser, pas nous diviser ni nous soumettre.
C’est pourquoi nous appelons les autorités politiques et sanitaires françaises à cesser d’insuffler la peur à travers une communication anxiogène qui exagère systématiquement les dangers sans en expliquer les causes et les mécanismes. Il ne faut pas confondre la responsabilisation éclairée avec la culpabilisation moralisatrice, ni l’éducation citoyenne avec l’infantilisation. Nous appelons également l’ensemble des journalistes à ne plus relayer sans distance une communication qui est devenue contre-productive : la majorité de nos concitoyens ne fait plus confiance aux discours officiels, les complotismes en tous genres foisonnent sur les réseaux sociaux et les extrémismes en profitent.
Le confinement général, mesure inédite dans notre histoire, a eu des conséquences individuelles, économiques et sociales parfois terribles qui sont loin de s’être encore toutes manifestées et d’avoir été toutes évaluées. Laisser planer la menace de son renouvellement n’est pas responsable.
Il faut évidemment protéger les plus faibles. Mais de même que l’imposition du port du masque dans la rue, y compris dans les régions où le virus ne circule pas, l’efficacité du confinement n’est pas démontrée scientifiquement. Ces mesures générales et uniformes, imposées sous surveillance policière, relèvent davantage d’une volonté d’afficher une posture protectrice que d’une stratégie sanitaire précise. D’où leur grande volatilité depuis six mois. Beaucoup d’autres pays agissent avec plus de cohérence. Une coordination européenne serait nécessaire.
Nous appelons également le gouvernement à ne pas instrumentaliser la science. La science a pour condition sine qua non la transparence, le pluralisme, le débat contradictoire, la connaissance précise des données et l’absence de conflits d’intérêts. Le Conseil Scientifique du Covid-19 ne respectant pas l’ensemble de ces critères, il devrait être refondé ou supprimé.
Nous rappelons par ailleurs que les premiers à soigner les malades sont les médecins généralistes. Les écarter de la lutte contre le Covid, en ne leur fournissant ni tests ni masques et en suspendant leur liberté de prescrire les médicaments autorisés de leur choix a constitué une erreur qui ne doit pas se reproduire. L’ensemble des soignants doit au contraire être mobilisé, équipé et solidarisé afin d’améliorer nos capacités de réaction et non les restreindre.
Enfin, les impératifs de protection contre la contagion ne doivent pas conduire à trahir l’éthique médicale et les principes humanistes fondamentaux. Isoler les malades et protéger les personnes à risque ne veut pas dire les priver de tous droits et de toute vie sociale. Trop de personnes âgées sont décédées et se dégradent encore actuellement dans un abandon motivé par des motifs sanitaires non justifiés. Trop de familles souffrent de ne pouvoir leur apporter l’affection indispensable à leur bonheur et à leur santé.
Il est urgent de nous remettre à penser ensemble pour définir démocratiquement nos stratégies sanitaires, redonner de la confiance à nos concitoyens et de l’avenir à notre jeunesse.
Les signataires (au 25 septembre)
Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris
Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
Bernard Bégaud, professeur de pharmacologie à l’Université de Bordeaux
Gilles Boeuf, professeur de biologie à Paris-Sorbonne Université
Pierre-Henri Gouyon, professeur de biologie au Muséum National d’Histoire Naturelle
Jean Roudier, professeur de rhumatologie à l’Université d’Aix-Marseille
Louis Fouché, médecin, anesthésiste réanimateur à l’Hôpital de la Conception
Olivier de Soyres, médecin, réanimateur à la clinique des Cèdres
Christophe Lançon, professeur de psychiatrie à l’Université d’Aix-Marseille
Laurent Toubiana, épidémiologiste à l’INSERM
Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS
Anne Atlan, généticienne des populations et sociologue, directrice de recherche au CNRS
Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
Marc-André Selosse, professeur de microbiologie au Muséum National d’Histoire Naturelle
Jean-Louis Thillier, médecin, immunopathologiste
Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS
Alexandra Menant, biologiste, chercheuse au CNRS
André Comte-Sponville, philosophe
François Gastaud, Chirurgien Orthopédiste à Strasbourg
Éric Desmons, professeur de droit public à l’Université Sorbonne Paris Nord
Dominique Andolfatto, professeur de science politique à l’Université de Bourgogne Franche-Comté
Charalambos Apostolidis, professeur de droit public à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté
Nicolas Sembel, professeur de sociologie à l’Université d’Aix-Marseille
Dominique Crozat, professeur de géographie à l’Université de Montpellier
Marnix Dressen-Vagne, professeur de sociologie à l’Université Versailles Saint-Quentin en Yvelines
Thomas Hippler, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Caen Normandie
Nicolas Leblond, maître de conférences en droit à l’Université Polytechnique Hauts-de-France
Dominique Labbé, politiste, enseignant émérite à l’Université de Grenoble-Alpes
Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
Mathias Delori, politiste, chercheur au CNRS
Jacques Tassin, écologue, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD)
Sylvie Gourlet-Fleury, écologue, chercheuse au CIRAD
Emmanuelle Sultan, docteur en océanographie physique, ingénieure de recherche au Muséum National d’Histoire Naturelle
Christophe Leroy, biologiste, docteur en biologie moléculaire et cellulaire
Bernard Dugué, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie
Yannick Gottwalles, chef du pôle Urgences des hôpitaux civils de Colmar
Hélène Banoun, docteur en pharmacologie, ancien chercheur à l’INSERM
Pierre-Yves Santiago, chirurgien à l’Institut Ophtalmologique de l’Ouest Jules Verne
Morgane Miègeville, cadre de santé, responsable pédagogique AP-HP
Colette Nordmann, Médecin du Sport
Franklin Joulie, chirurgien, Nantes
Christian Perronne, infectiologue, professeur à l’Université de Versailles Saint Quentin – Paris Saclay
Charles Menard, médecin, psychiatre
Arnauld Cabelguenne, docteur en pharmacologie
Marie-Claire Cabelguenne, pharmacienne
Franck Enjolras, psychiatre et anthropologue, chercheur à l’EHESS
Denis Agret, médecin urgentiste et santé publique
Guillaume Barucq, médecin généraliste (Biarritz)
Stéphane Tessier, médecin de santé publique
Alain Le Hyaric, médecin hospitalier à la retraite
Malika Balduyck, maître de conférences en biochimie et praticien hospitalier au CHU de Lille
Marie Laure Cadart, médecin et anthropologue
Yann Jacob, psychologue
Nicole Vernazza-Licht, anthropologue de la santé, chercheuse associée au CNRS
Grégoire Millet, physiologiste, professeur à l’Université de Lausanne
Agnès Florin, professeur émérite de psychologie à l’Université de Nantes
Daniel Bley, anthropologue biologiste, directeur de recherche émérite au CNRS
Bernard Gaillard, psychologue, professeur émérite à l’Université de Rennes 2
Soizic Noël-Bourgois, docteur en ethno-anthropologie, infirmière, membre de l’Académie des Sciences Infirmières
Farhad Khosrokhavar, professeur émérite à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales
Jean-François Dhôte, forestier, directeur de recherches à l’INRAE
Richard Frackowiak, neurologue, professeur émérite à l’University College of London
Serge Dufoulon, professeur de sociologie à l’Université Grenoble Alpes
Michel Koebel, professeur de sociologie à l’université de Strasbourg
Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Jean-François Bayart, professeur de science politique à l’IHEID
Marie-José Minassian, philosophe, enseignante émérite à l’Université Paris 8
Dominique Pécaud, professeur de sociologie à l’Université de Nantes
Frédéric Barbe, maître de conférences à l’École Nationale Supérieure d’Architecture
Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine
Pascal Roman, professeur de psychologie à l’Université de Lausanne
Olivier Esteves, professeur de civilisation anglaise à l’Université de Lille
Dan Ferrand-Bechmann, professeure honoraire de sociologie à l’Université Paris 8
Didier Blanc, professeur de droit public à l’Université de Toulouse
Dominique Glaymann, professeur de sociologie à l’Université d’Evry – Paris Saclay
Bernadette Aubert, maître de conférences en droit à l’Université de Poitiers
Fabrice Flipo, professeur de philosophie à l’Institut Mines-Telecom BS
Pierre-Cyrille Hautcoeur, économiste et historien, directeur d’études à l’EHESS
Maryse Esterle, enseignante-chercheuse en sociologie à l’Université d’Artois
Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber
Anouk Guiné, professeur à l’Université Le Havre Normandie
Guy Chapouillié, professeur émérite à l’École Nationale Supérieure de l’Audio-Visuel de l’Université de Toulouse
Didier Bigo, professeur de sociologie à Sciences-Po Paris
Claude Gautier, professeur de philosophie à l’École Normale Supérieure de Lyon
Stéphane Cantéro, magistrat, enseignant à l’Université de Rennes 1
James Masy, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université de Rennes 2
Olivier Jean-Marie Chantraine, professeur émérite de sciences de l’information et la communication à l’Université de Lille
Claire Neirinck, professeur de droit émérite à l’Université de Toulouse 1
Mathieu Dubois, professeur d’histoire à l’université de Nantes
Marc Roux, professeur honoraire de Zootechnie à l’AgroSup Dijon
Jérôme Reynier, docteur en psychologie sociale, enseignant dans le secondaire
Christian Palloix, professeur émérite d’économie à l’Université de Picardie Jules Verne
Arlette Bourcier-Mucchielli, psychologue, professeur honoraire à l’Université de Nice
Christophe Lemardelé, docteur en histoire des religions, chercheur associé au CNRS
Lucie Jouvet Legrand, socio-anthropologue, Maîtresse de conférences à l’Université de Franche-Comté
Michelle Zancarini-Fournel, historienne, professeur émérite à l’Université de Lyon
Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen
Thomas Meunier, chercheur associé au Woods Hole Oceanographic Institution
André Cayol, enseignant-chercheur émérite à l’Université de Technologie de Compiègne
Violaine Guérin, endocrinologue et gynécologue
Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur
Alexandra Henrion Caude, généticienne, ancienne directrice de recherche à l’Inserm
Tamara Baron, psychologue en milieu pénitentiaire
Bruno Péquignot, professeur émérite de sociologie à l’Université Paris Sorbonne Nouvelle
Colette Anné, mathématicienne, Chargée de Recherche (CRHC) du CNRS
Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des hôpitaux honoraire
Pascal Lardellier, professeur de sciences de l’information et de la communication à l’Université de Bourgogne
Michel David, psychiatre des hôpitaux
Michel Claessens, professeur de communication scientifique, Commission européenne et Université Libre de Bruxelles
Marta Barreda Gonzalez, médecin généraliste, spécialiste en santé publique
Laurent Brunaud, professeur de chirurgie viscérale et digestive au CHRU de Nancy
Pascal Mensah, médecin généraliste
Thierry Medynski, médecin généraliste
Sylvie Laval, psychiatre, Rhône
Mathilde Hautereau-Boutonnet, professeur de droit à Aix-Marseille Université
Une étude allemande révèle que le nouveau vaccin développé pour lutter contre le covid.19 modifie l’ADN, ce qui le rend particulièrement dangereux.
Selon la déclaration officielle du gouvernement allemand, la pandémie de coronavirus ne prendra pas fin tant qu’un vaccin ne sera pas disponible pour la population.
Cependant, des scientifiques réputés mettent en garde contre ce vaccin qui agit directement sur l’ADN humain, faisant de nous des organismes génétiquement modifiés. Les OGM alimentaires n’ont pas bonne presse au sein de la population. Que penser d’une population qui deviendrait elle-même OGM ?
Les effets secondaires de ce vaccin ne sont même pas évalués ou sont peut-être simplement occultés, mais on sait que ceux-ci se transmettront par voie génétique aux générations futures.
Appel urgent à la Vigilance
Les médias de masse dissimulent largement ces dangers. C’est pourquoi il est urgent de propager ces informations vitales !
Des informations sur les vaccins se trouvent aussi dans cet article.
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Comment garder sa lucidité et faire preuve de bon sens face aux absurdités imposées par nos gouvernements ?
Les médias continuent à alimenter la peur et à diffuser des informations qui ne sont fondées sur aucune étude scientifique valide. Les chiffres du Covid sont trompeurs et le port du masque ne sert à rien.
Puisque les médias semblent corrompus, il ne nous reste qu’à enquêter nous-même…
Articles : « Le pouvoir d’influence délirant des dix milliardaires qui possèdent la presse française » par Agnès Rousseaux / 5 avril 2017 à lire ICI.
« La science est concluante : les masques et les respirateurs n’empêchent PAS la transmission des virus » par le Professeur Dennis Rancourt / mai 2020 à lire ICI.
Pétition : Pétition pour une Commission d’enquête extraparlementaire indépendante (Suisse) « Printemps 2020 » à découvrir et soutenir ICI si le coeur vous en dit.
Durant ces derniers mois, j’ai passé beaucoup de temps à faire des recherches pour tenter de clarifier au mieux la situation que nous traversons dans cette crise sanitaire.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que nous subissons les effets d’une confusion générale due à l’affrontement de pensées différentes à propos de ce cher Covid-19. Pendant que les médias officiels s’évertuent à être alarmistes, des scientifiques de haut niveau s’appuient sur des faits réels pour relativiser la gravité de la situation.
Les médias officiels et les gouvernements, sous prétexte du principe de précaution, continuent à alimenter la peur et à limiter nos libertés… Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais moi je trouve que c’est encore plus inquiétant que le virus.
De plus en plus de personnes remettent en cause le discours officiel et j’avoue que je me suis senti un peu perdu, ne sachant plus trop à qui faire confiance. J’ai cherché, tentant de faire preuve d’un maximum de bon sens.
Je crois qu’il devient plus nécessaire que jamais de se faire son propre avis. La liberté de penser est la plus haute valeur de l’individu, parce que c’est de sa pensée que dépendent toutes les autres libertés.
OK. Pour nous faire notre propre avis, nous avons besoin d’informations. Et comme nous manquons de temps, et parfois aussi de connaissances, nous laissons les spécialistes nous exposer les faits afin de connaître la vérité. Nous suivons l’actualité à la radio, à la télévision ou encore dans les journaux. Cela suppose une confiance absolue dans ce type de médias, un peu comme on ferait confiance à un grand frère.
Mais la crise actuelle a révélé d’énormes conflits d’intérêts dans lesquels les médias officiels étaient impliqués. En conséquence, il devient déraisonnable, et peut-être même dangereux, de continuer à leur accorder notre confiance.
Du coup, nous sommes obligés de faire nos propres recherches pour nous faire notre propre avis. En plus, il faut s’assurer de la validité des sources et de leur neutralité.
Qui parle ? Sur quelles bases ? Qui finance le message ? À qui profite cette information ? Qui d’autre s’exprime sur le sujet ?
Voici les questions qu’on devrait se poser lorsqu’on enquête pour trouver la vérité. Et pour faire preuve de bon sens, on pourrait encore se demander… Qu’est-ce que je ressens face à ce qui est dit… que me dit mon cœur ?
Maintenant, jetons un coup d’œil sur les propriétaires des médias. Nous voyons ici à qui appartiennent la plupart des grands médias français… Je ne connais pas toutes ces personnes et ce serait sans doute intéressant de faire une petite enquête pour découvrir en quoi elles sont impliquées dans la finance, l’industrie ou la politique, à moins que l’un ou l’autre ne soit que le jouet d’une puissance plus grande qui le dirige, ce qui est aussi possible.
Je ne suis pas spécialiste, mais je suppose que c’est pareil en Suisse et dans tous les pays du monde : les médias officiels appartiennent à de grosses fortunes ou de grands groupes. Et il paraît logique que ces personnes orientent l’information pour en tirer des bénéfices, confortables sans doute… et pas toujours en termes financiers d’ailleurs, mais aussi en termes de pouvoir.
Lorsque vous vous éloignez de ces médias pour découvrir ce que des journalistes ou des scientifiques indépendants ont à vous dire, vous accédez à une information complètement différente. Il faut un peu explorer l’Internet, YouTube, les réseaux, les blogs alternatifs ou les journaux indépendants, mais l’information est souvent bien plus factuelle et sourcée, et généralement plus constructive et citoyenne.
Le marasme du Covid-19.
En Suisse comme dans la plupart des pays, les mesures d’urgence pour lutter contre le coronavirus ont tendance à se transformer en lois afin d’assurer une base légale pour soumettre la population à des directives strictes. Mais on voit aujourd’hui que ces directives ne sont fondées sur aucune étude scientifique sérieuse.
De nombreux scientifiques, médecins et personnels de santé s’élèvent face à une information exagérément orientée sur la peur, alors que le Covid-19 ne constitue plus une menace majeure en ce moment (date) et qu’il ne menace pas de réapparaître comme au printemps.
Le professeur Raoult, comme bien d’autres pointures scientifiques et médicales, observent que le Covid-19 à muté, qu’il ne provoque plus les même effets qu’au début et qu’il reviendra sans doute de manière saisonnière, comme les autres coronavirus connus et avec les même symptômes de grippe. Donc, on se calme.
Il serait urgent de faire sérieusement le point de la situation sanitaire avant d’édicter de nouvelles mesures visant à restreindre les libertés individuelles et portant atteinte aux droits humains fondamentaux, à la démocratie et au fédéralisme.
En Suisse, une initiative lancée récemment réclame une telle enquête. Il s’agit de la Pétition pour une Commission d’enquête extraparlementaire indépendante « Printemps 2020 » https://printemps2020.com/
Les médias continuent de manière obsessionnelle à nous rapporter les chiffres de personnes testées positives, en quarantaine ou en isolement. Curieusement, on ne parle plus de malades ni de morts… forcément, il n’y en a plus depuis des mois !
Notre société ne peux pas vivre indéfiniment dans la peur, d’autant que celle-ci ne semble plus justifiée. Tout le monde est touché et en particulier les jeunes, qui sont maintenant désemparés, voire traumatisés par un avenir incertain.
On peut comprendre qu’au début de la pandémie les autorités ont pris des décisions hâtives et arbitraires face à un virus inconnu. Mais actuellement, nous disposons d’une foule de nouveaux éléments qui permettent d’appréhender la situation avec calme et lucidité. De nombreuses études montrent de manière évidente qu’il y a un véritable problème avec les mesures prises actuellement.
Témoignage
Pour illustrer cela, je vais me permettre de reprendre les mots de Mme Cravero, docteur en biologie cellulaire.
Dans un post sur Facebook, elle dit ceci :
« Je suis docteur en biologie cellulaire et moléculaire, j’ai un post-doctorat en chirurgie expérimentale et je travaille dans un hôpital du canton de Vaud. Il faut savoir que LA SITUATION EST IDÉALE AUJOURD’HUI, et que TOUT LES FEUX SONT AU VERT, pour une propagation lente et contrôlée du virus.
On tire la sonnette d’alarme avec 200 cas positifs/détectés par jour (encore faut-il que les cas détectés soient vraiment des cas positifs), mais c’est faux, même s’il y avait 500 cas par jour, il n’y aurait pas d’urgence.
LA SITUATION EST LARGEMENT SOUS CONTRÔLE et les hôpitaux ne sont de loin pas débordés par les cas d’hospitalisations (et je rappelle qu’AU PIC DE LA PANDÉMIE NOS HÔPITAUX ÉTAIENT À 40-50% DE LEUR CAPACITÉ).
LA SITUATION EST DONC PARFAITE POUR OBTENIR AU FINAL L’IMMUNITÉ COLLECTIVE, tellement souhaitée par nos autorités en fin de confinement, et DONT AUJOURD’HUI plus PERSONNE NE PARLE !
Les médias assomment la population avec des chiffres alarmistes à longueur de journée, il est donc normal et naturel que ce sentiment anxiogène aie pris le dessus. Je souhaite vivement et de tout cœur que la population en prenne conscience.
Selon les chiffes officiels, Influenza tue chaque année entre 300’000 et 650’000 personnes à travers le monde, et pourtant il s’agit d’un virus pour lequel nous avons un vaccin, mais il faut aussi savoir que pour cette année l’efficacité du vaccin n’est que de 53 %. Le nombre total de mort en Suisse est environ de 70’000 personnes par année réparti de la manière suivante: +/- 21’000 pour les maladies cardio-vasculaire, +-/ 18’000 pour les cancers, +/- 6’500 pour la démence, +/- 4’500 pour les maladies respiratoires, +/- 3’700 pour les accidents et morts violentes … regarder le nombre de morts du COVID aujourd’hui (1’717) et tirez-en vos conclusions.
Je mets également en garde les gens contre le vaccin qui pourrait être mis sur le marché, la création d’un vaccin prend du temps et coûte beaucoup d’argent, je crains que dans la précipitation ce vaccin n’aie pas répondu à la majorité des tests toxicologiques et de tumorigénicités. J’ai également la chance dans l’activité de mes fonctions d’aller au bloc opératoire, où nous avons des protocoles très strictes d’entrée et d’usage du masque.
JE VOIS AUJOURD’HUI DANS CETTE HYSTÉRIE COLLECTIVE UNE UTILISATION HONTEUSE de cet outil de travail (dans les transports publics et dans la rue). Voici quelques exemples des règles du bon usage DU MASQUE de soins:
– Ne pas toucher le masque une fois en place
– Se désinfecter les mains par friction hydro-alcoolique avant la pose et après le retrait, ainsi qu’après chaque manipulation du masque pour le réajuster.
– Ne pas porter le masque sur le menton, sur les cheveux
– Ne pas mettre le masque dans la poche
– Ne pas poser le masque sur la table
JE DÉFIE QUICONQUE dans la population DE ME PROUVER QU’IL RESPECTE CES RÈGLES simples et basiques.
J’en tire la conclusion que L’UTILISATION DU MASQUE PAR LA POPULATION EST TOTALEMENT INUTILE, voire même idiote et stupide.
J’ai encore un grand nombre d’arguments scientifiques (traitement : Hydroxychloroquine vs Remdesivir, données : létalité vs mortalité) que je n’ai pas le temps de développer ici, pour démontrer que LA SITUATION ORCHESTRÉE PAR LES GOUVERNEMENTS EST RIDICULE mais j’espère que ça changera prochainement. »
Sandrine Cravero Chanel, Docteur en biologie cellulaire & moléculaire
Faire preuve de bon sens
De même que Madame Cravero, de nombreuses personnes se lèvent aujourd’hui pour dénoncer l’absurdité des directives gouvernementales, les conflits d’intérêt qui gangrène les commissions scientifiques, et la docilité des populations induites par la peur et la culpabilité civique.
À propos du traitement à l’Hydosychloroquine, des tests et de la mortalité, le Pr. Didier Raoult donne des chiffres très précis et clairs sur la situation actuelle.
À propos des masques, une étude approfondie du Pr. Denis Rancourt démontre son inutilité.
À propos du Covid-19 modifié artificiellement, des dangers d’un vaccin et des conflits d’intérêt dans le monde médical, le Pr. Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, exprime son inquiétude.
Que faut-il en penser ? Peut-être que cette crise nous donne l’occasion de réfléchir sur notre identité de citoyen, sur notre autonomie personnelle et notre légitimité de peuple souverain.
Je crois que face à tout cela, il faut faire preuve de bon sens pour que chacune et chacun se fasse sa propre opinion, une opinion éclairée et sincère qu’il pourra porter avec fierté autour de lui.
C’est du moins dans cet état d’esprit que je continue mon enquête et que je me proposerai encore de vous soumettre le fruit de mes réflexions. À défaut d’une vérité parfaite, nous aurons du moins une vision qui tend vers une réalité la plus juste possible.
Le choix nous appartient
Le Covid-19 cache encore d’autres choses que j’ai découvertes dans mes recherches. En effet, derrière cette épidémie, il y a une foule de changements profonds, sociétals, politiques et idéologiques qui semblent se jouer. Je vous en parlerai dans les prochaines vidéos.
Si vous voulez en savoir plus ou si vous désirez simplement qu’on continue à réfléchir ensemble sur les vérités cachées et les choses importantes de la vie, alors cliquez sur le pouce bleu, abonnez-vous à cette chaîne et cliquez sur la cloche pour recevoir l’annonce de mes nouvelles vidéos.
Plus que jamais, il s’agit de faire preuve de bon sens. Restons conscients, restons unis, restons en contact.
À bientôt.
Références
Articles : « Le pouvoir d’influence délirant des dix milliardaires qui possèdent la presse française » par Agnès Rousseaux / 5 avril 2017 à lire ICI. « La science est concluante : les masques et les respirateurs n’empêchent PAS la transmission des virus » par le Professeur Dennis Rancourt / mai 2020 à lire ICI.
Pétition : Pétition pour une Commission d’enquête extraparlementaire indépendante (Suisse) « Printemps 2020 » à découvrir et soutenir ICI si le coeur vous en dit.
Le 28 juillet 2020, des médecins américains ont pris la parole à Washington pour dire la vérité sur l’hydroxycholoquine et sur son efficacité, tant en prophylaxie qu’en traitement face au Covid 19.
En quelques heures, cette vidéo a été visionnée 17 millions de fois avant d’être 100ssurée. Le site web des ces médecins a même été supprimé contre leur gré.
J’ai enregistré cette vidéo dans mes fichiers afin de la diffuser encore aussi largement que possible.
Pour les droits d’auteur ainsi que pour soutenir le traducteur, voyez son site filsdepangolin.com . La source de cet enregistrement est sur rumble.com.
Le physicien David Mendels est invité par Denis Robert du « Tout Peut Arriver ».
Lorsque les taux de contamination au Covid ont pris l’ascenseur, David Mendels a compris que les tests sanguins individualisés seraient un des enjeux du problème.
Spécialisés en intelligence artificielle et microbiologie, forts de leur expérience avec les tests pour la malaria, David Mendels et ses collègues ont rapidement mis au point un système implacable pour mesurer la fiabilité des tests Covid.
« Le Covid est un virus trop petit pour être vu en microscopie optique mais quand est arrivé la crise en France, on avait déjà deux ou trois mois de retard sur les Chinois et les Coréens qui avaient développé des tests de diagnostic rapide. »
L’équipe de David Mendels s’est mise au travail : « On s’est dit qu’on allait mettre en route notre projet. On a pu sortir un prototype en une semaine ». Un prototype de testeur de tests.
Face à la quantité de laboratoires se mettant à fabriquer des tests dans un but pas uniquement humanitaire, des médecins parisiens de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre, missionnés par l’Institut Pasteur, ont collaboré, leur envoyant 5 des 11 tests représentant plus de 2’000 dispositifs à tester.
Le marché du test Covid -vendu en pharmacie autour de 40/50 euros et sur Internet entre 15 et 99 euros- est très lucratif.
Jusque-là, tout va bien. C’est ensuite que l’histoire défie l’entendement. Le Ministère de la santé a homologué une liste de 23 tests le 20 mai dernier, dont la plupart, selon les propres termes du physicien sont « tous pourris ».
Entendez par là qu’ils peuvent diagnostiquer des personnes saines comme étant malades du Covid. Et plus grave, des personnes malades, saines.
Sur les 11 tests sur lesquels a travaillé David Mendels, un seul a franchi la barre de la fiabilité selon les critères établis par la haute autorité de santé (HAS) en matière de spécificité et de sensibilité. Pourtant dans la liste finale, la plupart y compris les pires, ont été homologués par le Ministère.
« Je ne suis qu’un scientifique donc je ne sais pas s’il y a malveillance ou incompétence derrière cela » explique, sidéré, le docteur en physique « Mais quand les résultats se perdent à plusieurs niveaux comme c’est le cas ici, on est en droit de se poser la question de ceux qui contrôlent les contrôleurs. Et on est également en droit de se demander si tout s’est passé de la sorte pour la gestion de la crise du Covid ? »
La réponse est malheureusement oui. Cet entretien révèle un nouveau scandale de santé publique et montre que, pour des raisons troubles, sans doute liées au lobbying des labos, des tests -remboursés par la sécurité sociale- dont on savait qu’ils étaient peu voire pas fiables, ont été mis en vente.
Cela signifie aussi qu’actuellement, des personnes qui pensent ne pas avoir le Covid puisqu’elles ont été testés négatives, l’ont certainement…
« L’info en question » a pour objectif de mettre en lumière les sujets qui sont négligés, oubliés ou encore cachés par les médias officiels.
Les conflits d’intérêts étant désormais les régisseurs du monde médiatique, une équipe de lanceurs d’alerte s’est mobilisée pour partager ses dernières informations et les questions qu’elles suscitent.
L’émission hebdomadaire « l’Info en Questions » est née d’une demande grandissante d’informations libres et échappant à la censure. Mais par le fait même, cette émission est elle aussi censurée et bon nombre de ces vidéos ne se trouvent que difficilement sur le web.
Ci-dessous, l’édition n° 21 du 29 octobre 2020.
2h15 d’émission pour y voir plus clair
Le but de l’émission « l’Info en Questions » est également d’inviter des experts, des scientifiques et professionnels dans différents domaines afin qu’ils répondent aux questions des citoyens.
Retrouvez l’émission chaque jeudi à 20h00 Heure UE-France / 14h00 Heure Québec
Comme ces informations sont régulièrement censurées sur Youtube, vous pouvez retrouver tous ces précieux contenus en vous abonnant à la chaîne privée gratuite de Jean-Jacques Crèvecoeur Emergence Formation.
Découvrez les chaînes, abonnez-vous, partagez abondamment. Restons conscients, restons unis, restons en contact.
Covid-19 : pourquoi les masques et les « gestes barrières » sont inutiles
Le Prof. Denis Rancourt s’appuie sur des études scientifiques étonnantes dont on ne parle généralement pas. Des études fiables réalisées de longue date et à large échelle qui démontrent à quelle point notre approche du COVID-19 est inadaptée.
Face à la multitude d’informations contradictoires sur les moyen de se prémunir du COVID-19, il est utile de mieux comprendre son mode de propagation pour pouvoir s’en protéger… et reprendre confiance.
Par ailleurs, il est aussi important de savoir se protéger de la vague de peur qui tente de nous submerger et des manipulations possibles qui pourraient l’accompagner.
L’interview de Jérémie Mercier dure 40 minutes. Découvrez sa chaîne Youtube en cliquant ici.